FRATERNITÉ
C’est très triste
de vivre
assis
sur la page
froissée
de sa propre
solitude.
Il serait
plus sage
peut-être
de se tendre la main
et
en s’embrassant
de se reposer
l’un
sur le cœur
de l’autre
comme font
au vent
les épis
de blé.
(traduction de Marie Marazita)
de “A sud delle cose” – Roma, 2017 – I ed. 2006